Santé : « Le programme médical d’Hitler a été ressuscité par l’Administration Obama »


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Que diriez-vous d’un article à prétention académique intitulé : « Combien peut-on potentiellement économiser en légalisant le suicide assisté par un médecin ? » A en juger par le titre, vous pourriez croire qu’il provient du grand-père de l’utilitarisme britannique, Jeremy Bentham ; ou bien peut-être du promoteur du LSD Aldous Huxley ; ou bien du docteur nazi Karl Brandt.

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Voir aussi : Le modèle d’Obama discrédité : avec le programme NICE, un Anglais sur six meurt euthanasié

Bruxelles : les dattes vraiment palestiniennes


Nous continuons à boycotter les autres. D’ailleurs, on n’en voit plus dans les magasins, ni sur les marchés.

Les dattes palestiniennes sont certifiées d’origine et ce sont des Medjoul.

Leur marque : TAOUS.

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Vous les trouverez notamment chez :

Majid Sa
Boulevard de Dixmude 51
1000 Bruxelles
Belgique

Tel.: 02-219 34 30

mais aussi en magasin chez :

Maromaji
Avenue de Stalingrad 126
1000 Bruxelles
Tel : 02-513 16 68

Israël : Neve Gordon et les voix pacifistes perdent la bataille


Le 20 août, l’universitaire israélien Neve Gordon, publie un texte d’opinion dans le Los Angeles Times. Il enseigne à l’université Ben-Gourion du Néguev, qui non seulement diffuse la connaissance et le savoir aux enfants de populations souvent déshéritées, mais a été aussi longtemps un refuge pour ceux qu’on a fini par appeler les « nouveaux historiens », plutôt post-sionistes.

Gordon se situe dans la mouvance de l’action non-violente et appelle à la pression internationale pour mettre fin à l’occupation israélienne et à l’« apartheid » qui sévit dans le pays. Il s’est joint dans cette perspective au mouvement Boycott, désinvestissement et sanctions (BDS) lancé en 2005, puis relancé à Bilbao en 2008.

On peut ne pas être d’accord avec les idées exprimées dans l’article ou avec les choix de son auteur, mais il est difficile de s’identifier à la vague d’hystérie qu’ils ont provoquée en Israël.

Si les perspectives de levée de l’occupation s’amenuisent et si le désespoir est devenu le lot quotidien des populations qui la subissent, que reste-t-il à faire à un Israélien comme Gordon, attaché à son pays et qui ne le quitte pas, laissant ainsi de côté les options de facilité ? Un raidissement généralisé

L’hystérie fait partie de ces réactions en vogue qui servent à masquer les vrais problèmes, liés au conflit israélo-palestinien et à l’occupation, lesquels à la longue risquent de mettre en danger l’existence d’Israël lui-même.

Ces derniers mois, après l’offensive contre Gaza et l’arrivée au pouvoir d’un gouvernement de coalition de droite dure, incluant l’extrême droite, la liberté d’expression est devenue une peau de chagrin dans un pays où, pourtant, dans le passé, des intellectuels critiques avaient encore le droit d’exprimer des opinions allant à l’encontre des thèses officielles.

Les persécutions contre les membres de New Profile, une organisation qui œuvre contre la militarisation de la société israélienne, les attaques violentes visant des militants non violents qui protestent contre le Mur de séparation et l’occupation, l’arrestation de l’activiste Ezra Nawi, qui lui aussi sans violence s’opposait à la destruction d’une maison palestinienne (Neve Gordon fait partie de son comité de soutien) dénotent le lourd climat de tension qui règne en Israël et le raidissement consécutif, qui dans tous les cas ne peut qu’être préjudiciable à la liberté d’expression en général.

L’université israélienne a été longtemps un havre pour les intellectuels critiques. La donne a manifestement changé. La publication de l’article de Neve Gordon a suscité les chantages de quelques juifs Américains de Los Angeles, qui ont menacé de couper les dons à l’université Ben-Gourion.

Le consul général d’Israël à Los Angeles s’est, quant à lui, ému de tels risques et en a informé la présidente de l’Université, Rivka Carmi. Critique interdite à l’université ?

Celle-ci n’a pas manqué de réagir, comme on pouvait s’y attendre, en faisant savoir qu’elle pourrait bien se passer des services d’individus comme Neve Gordon. Elle caractérise de tels actes de « trahison » à l’égard de l’État d’Israël. Et précise que l’université Ben-Gourion « est une institution sioniste qui accomplit jour après jour la vision de David Ben Gourion » :

« Des déclarations comme celles-ci, qui expriment une critique brutale et dévastatrice de l’Etat d’Israël, vont à l’encontre de l’excellent travail accompli à l’université Ben-Gourion et dans toutes les universités en Israël. »

Elle invite ceux qui pensent comme Neve Gordon à se chercher un autre point de chute personnel et professionnel.

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Naomi Klein montre qu’il est possible de boycotter Israël sans mettre fin au dialogue sur la Palestine


AUTEUR: Cecilie SURASKY

Peu de campagnes pour la justice dans le monde sont plus polarisantes, voire plus explosives, que le recours au boycott international, au désinvestissement et aux sanctions pour presser Israël de mettre fin à une occupation des territoires palestiniens qui dure depuis 42 ans.

Demandez donc à Neve Gordon.

Récemment, Gordon, chef du département de Sciences politiques à l’université Ben Gourion et militant de longue date en faveur de la paix, a publié un article déchirant dans le Los Angeles Times [lire ici en français] dans lequel il soutenait l’appel palestinien en faveur du boycott, du désinvestissement et de sanctions (BDS).

Après s’être initialement opposé à cette tactique, il a été convaincu, écrit-il, que les pressions extérieures sont « la seule manière de sauver Israël de lui-même ».

Il s’était préparé à un retour de bâton, mais pas du genre qu’il a affronté ces dernières semaines : des membres de la Knesset israélienne, tous partis politiques confondus, ont demandé son renvoi immédiat ; le ministre de l’Éducation a qualifié son article de « répugnant » et la présidente de son université l’a voué aux gémonies en disant « des personnalités et des universitaires animés de tels sentiments devraient se chercher un foyer personnel et professionnel ailleurs ». Elle a ensuite laissé entendre que l’article en question pouvait être assimilé à un acte de trahison.

De toute évidence, pour ceux qui croient que faire pression sur Israël est nécessairement un acte anti-juif, le BDS – qui fait partie de ce que l’on appelle la stratégie sud-africaine – dépasse les limites.

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Israël, boycott, sanctions et désinvestissement


dimanche 6 septembre 2009, par Alain Gresh

Reprenant une dépêche de l’Agence France-Presse du 4 septembre, Romandie News titre : « Barak proteste contre le retrait d’un fonds norvégien d’un groupe israélien »

« Le ministre israélien de la Défense Ehud Barak a protesté vendredi contre la décision du fonds de pension public norvégien, l’un des plus gros fonds souverains au monde, de se retirer d’un groupe électronique israélien. “Le ministre de la Défense s’est entretenu avec le ministre norvégien des Affaires étrangères (Jonas Gahr Stoere) pour lui exprimer son mécontentement à la suite de la décision du fonds norvégien concernant Elbit”, a indiqué un communiqué du ministère de la Défense. Selon le communiqué, le ministre norvégien a expliqué qu’il s’agissait “d’un fonds privé et que le gouvernement norvégien n’a aucun pouvoir sur lui”.

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