Solana se réjouit de la répression et de la collaboration en Cisjordanie occupée


Ma’an News Agency

Le plus haut responsable de la politique étrangère de l’Union Européenne, Javier Solana, a félicité le Fatah et les milices palestiniennes « de sécurité » lors d’une visite dans la ville de Ramallah en Cisjordanie ce lundi.

(JPG) Hébron, 9 septembre 2007 - Les miliciens du Fatah arrêtent un jeune manifestant sympathisant du Hamas - Photo : AP/Nasser Shiyoukhi
(JPG) Hébron, 9 septembre 2007 - Les miliciens du Fatah arrêtent un jeune manifestant sympathisant du Hamas - Photo : AP/Nasser Shiyoukhi

« Lorsque les Palestiniens prennent le contrôle sur des questions difficiles comme la sécurité ils font un très bon boulot », a déclaré le Haut représentant pour la politique étrangère et de sécurité au cours d’une conférence de presse commune au siège de la mission EUPOL COPPS [on appréciera le jeu de mots – N.d.T], la mission de formation policière de l’UE.

« Je suis très heureux que tout le monde reconnaisse les efforts déployés par les forces de sécurité palestiniennes pour garantir la sécurité dans les territoires sous le contrôle des Palestiniens » [mensonge : les territoires sont sous occupation israélienne et non pas sous contrôle palestinien, même si les Israéliens délèguent certaines tâches répressives aux milices du Fatah – N.d.T], a déclaré Solana dans un communiqué.

« Je l’ai entendu dire du peuple palestinien [lequel ? L’entourage direct d’Abbas très probablement…], des dirigeants israéliens [l’occupant est dont content du travail fourni par les collaborateurs palestiniens] et aujourd’hui, je l’ai même lu dans la presse [cela n’est en rien une référence, les médias dominants étant devenus depuis longtemps des instruments de guerre et non des moyens d’information]. »

« Nous sommes fiers si nous y avons contribué [Solana est donc fier d’avoir contribué à l’incarcération de près d’un millier d’opposants politiques dans les geôles du Fatah, plusieurs étant morts sous la torture] et j’espère que nous avons contribué à cela, mais la chose importante c’est les Palestiniens », dit-il, se référant à la mission EUPOL COPPS [Solana aime les Palestiniens, mais à la condition qu’ils soient dociles et qu’ils collaborent avec l’occupant israélien].

Alors qu’il était à Ramallah, Solana a tenu une réunion avec le chef d’EUPOL COPPS, et avec le chef de la mission mission d’assistance [de collaboration] de l’UE, actuellement en sommeil [il faut espérer le plus longtemps possible] au passage de Rafah à la frontière de Gaza avec l’Égypte.

Auparavant Solana a rencontré l’ex-président Mahmoud Abbas et le premier ministre provisoire [non élu], Salam Fayyad.

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Eyal Sivan


Le réalisateur israélien Eyal Sivan a décidé de ne pas accepter l’invitation du Forum des images, à Paris, qui prévoit de projeter son dernier film Jaffa, La mécanique de l’orange. Dans une lettre adressée aux organisateurs de la rétrospective sur le centenaire de la capitale israélienne Tel-Aviv, le cinéaste explique les raisons de sa décision. Une lettre sans concession pour le régime « d’apartheid » israélien.

Eyal Sivan

Je vous écris suite à la demande que vous avez adressée à mes producteurs, Mme Trabelsi et M. Eskenazi, de programmer mon dernier film « Jaffa, La mécanique de l’orange » dans la rétrospective ’Tel-Aviv, le Paradoxe’ que vous organisez le mois prochain au Forum des Images, dans le cadre de la célébration du centenaire de la ville de Tel-Aviv.

Je tiens d’abord à vous remercier pour votre offre de participer à cet événement et je vous demande d’excuser mon retard à répondre à vos chaleureuses sollicitations. Je suis sincèrement honoré que vous ayez envisagé de programmer mon film « Jaffa, La mécanique de l’orange » pour clôturer votre rétrospective. Toutefois, après mûre réflexion, j’ai décidé de décliner votre invitation. Les raisons de cette décision sont complexes et de nature politique, c’est pourquoi je voudrais, si vous le voulez bien, vous les expliquer dans le détail.

Comme vous le savez probablement, l’ensemble de mon travail cinématographique, qui compte plus de quinze films, a principalement pour objets la société israélienne et le conflit israélo-palestinien. En m’opposant à la politique israélienne à l’égard du peuple palestinien, je me suis toujours efforcé d’agir indépendamment pour qu’il n’y ait aucune ambiguïté sur le fait que je ne représente pas la « démocratie (juive) israélienne « . C’est pourquoi, depuis le tout début de ma carrière cinématographique, il y a plus de 20 ans, je n’ai jamais bénéficié d’aucune aide ou d’aucun support d’une quelconque institution officielle israélienne.

J’ai toujours agi de manière à éviter que mon travail puisse être instrumentalisé et revendiqué comme une preuve de l’attitude libérale d’Israël ; une liberté d’expression et une tolérance qui ne sont accordées par l’autorité israélienne qu’à l’égard, bien sûr, des critiques juives israéliennes.

La politique raciste et fasciste du gouvernement israélien et le silence complice de la plupart de ses milieux culturels pendant le récent carnage opéré à Gaza comme face à l’occupation continue et aux violations des droits humains et aux multiples discriminations à l’égard des Palestiniens sous occupation, ou ceux, citoyens palestiniens de l’Etat israélien – toutes ces raisons justifient que je maintienne une distance vis-à-vis de tout événement qui pourrait être interprété comme une célébration de la réussite culturelle en Israël ou un cautionnement de la normalité du mode de vie israélien. Puisque votre rétrospective fait partie de la campagne internationale de célébration du centenaire de Tel-Aviv et qu’elle bénéficie, à ce titre, du soutien du gouvernement israélien, je ne peux que décliner votre invitation.

Par ailleurs, considérant les attaques blessantes, humiliantes et continues dont mon travail fait l’objet, tant en France qu’en Israël, et les très rares confrères israéliens qui se sont exprimés pour me défendre et manifester leur solidarité sincère (je ne tiens pas compte des déclarations de principe en faveur du privilège hégémonique de la « liberté d’expression »), il ne m’est pas possible de me sentir solidaire d’un tel groupe.

Je ne peux être associé à une rétrospective qui célèbre des artistes et cinéastes jouissant d’une position de privilège absolu et d’une totale immunité, mais qui ont choisi de se taire quand des crimes de guerre étaient commis au Liban ou à Gaza et qui continuent d’éviter de s’exprimer clairement au sujet de la brutale répression des populations palestiniennes, du blocus de trois ans et de l’enfermement de plus d’un million de personnes dans la Bande de Gaza.

Je tiens à me démarquer de ceux de mes collègues qui utilisent de façon opportuniste, voire cynique, le conflit et l’occupation comme décor de leurs travaux cinématographiques, et comme représentation néo-exotique de notre pays – pratiques qui peuvent expliquer leur succès en Occident, et particulièrement en France – et je refuse d’être associé à eux dans le cadre de votre manifestation.

Même si votre invitation avait suscité chez moi une seconde d’hésitation, celle-ci aurait été balayée à la lecture, il y a une quinzaine de jours, d’un article signé d’Ariel Schweitzer, l’organisateur de votre rétrospective, et publié dans Le Monde. Dans cet article qui s’opposait au boycott culturel de l’establishment israélien, il déclare : “Des mauvaises langues diront que cette politique cultuelle sert d’alibi, visant à donner du pays l’image d’une démocratie éclairée, une posture qui masque sa véritable attitude répressive à l’égard des Palestiniens. Admettons. Mais je préfère franchement cette politique culturelle à la situation existante dans bien des pays de la région où l’on ne peut point faire des films politiques et sûrement pas avec l’aide de l’Etat.”

Sur ce point, il me faut remercier votre organisateur M. Schweitzer pour sa naïve sincérité et pour ses arguments sectaires qui m’ont permis d’articuler les raisons pour lesquelles je préfère garder mes distances vis-à-vis de votre rétrospective et d’autres événements semblables. Car comme le confirme M. Schweitzer ils sont, en effet, une célébration de la politique culturelle israélienne et une défense de l’idéologie du ‘moindre mal’.

Tant mon histoire et ma tradition juives que mes convictions et mon éthique personnelles m’obligent, dans les circonstances politiques actuelles – alors que les autorités des démocraties occidentales et leurs intelligentsias ont fait le choix de rester aux côtés de la politique criminelle israélienne – à m’opposer publiquement par cet acte ferme et non-violent à l’actuel régime d’apartheid qui existe aujourd’hui, en Israël.

Je terminerai en reprenant les termes de mon collègue et ami le célèbre réalisateur palestinien Michel Khleifi qui ne cesse de nous rappeler que le défi auquel nous devons faire face, en tant qu’artistes et intellectuels, est de poursuivre nos travaux non pas GRACE A la démocratie israélienne, mais MALGRE elle.

C’est pourquoi, toujours de manière non-violente, je continuerai à m’opposer, et à inciter mes pairs à faire de même, contre le régime israélien d’apartheid et contre le « traitement spécial » réservé dans les démocraties occidentales à la culture israélienne officielle d’opposition.

Souhaitant que vous accepterez et comprendrez ma position, et espérant avoir l’opportunité de montrer mon travail dans d’autres circonstances.

Croyez en ma gratitude et mon respect,

Eyal Sivan, Filmmaker Research Professor in Media Production School of Humanities and Social Sciences University of East London (UEL) United-Kingdom

Rappel : semaine BDS


Le Boycott Académique d’Israël: Ouvrons le Débat!

Belgique, 20/23 Octobre, 2009 | KUL, UG, VUB, UCL, ULB

En avril 2004, compte-tenu de la persistance d’Israël dans ses violations du droit international et de l’échec de toutes les formes d’interventions et de processus de paix pour amener Israël de se soumettre au droit humanitaire, la Palestine occupée a lancé un appel de boycott de toutes les institutions académiques et culturelles israéliennes jusqu’à ce qu’elles en répondent au droit international et aux principes des droits de l’Homme.

Aujourd’hui, le boycott académique prend place dans le cadre plus vaste de la campagne BDS – Boycott, Désinvestissement, Sanctions – et réunit un soutien international remarquable qui a déjà mené à de nombreuses victoires significatives partout dans le monde. La Belgique ne fait pas l’exception. Plusieurs institutions culturelles, organisations et personnalités ont ouvertement plaidé en faveur du BDS, sous différentes formes, et luttent sans relâche pour sensibiliser et défendre l’appel lancé par la société civile palestinienne. Malgré cela, la logique et les conditions de cet appel à un boycott académique d’Israël restent souvent incertaines.

Pour répondre à cette incompréhension et à l’incertitude dont le boycott académique d’Israël fait l’objet, ainsi que pour rejoindre l’intérêt croissant de certains académiques et étudiants pour cette thématique, le Brussels Palestine Collective a décidé d’inviter Samia Botmeh à réaliser une tournée de débats dans les universités belges. Samia Botmeh est directrice du « Birzeit University’s Center for Development Studies » et, d’autre part, professeur d’Economie et d’Etudes de genre. Elle est aussi l’un des membres du comité de pilotage de la « campagne palestinienne pour le boycott académique et culturel d’Israël » (PACBI).

Brussels Palestine Collective

brusselspalestinecollective@gmail.com

Programme de la Tournée

Mardi 20 octobre

Katholieke Universiteit Leuven

Speaker: Samia Botmeh

Modérateur: Prof. Sarah Bracke

Heure: 16h

Lieu: SW 00.113, Raadzaal Sociale Wetenschappen, Parkstraat 45, 3000 Leuven

Mercredi 21 octobre

Universiteit Gent

Speaker: Samia Botmeh

Modérateur: Prof. Ruddy Doom

Heure: 15:30

Lieu: Auditorium B, Oude School (06.02), Universiteitsstraat 6, 9000 Gent

Vrije Universiteit Brussel

Speaker: Samia Botmeh

Modérateur: Patrick Deboosere

Heure: 18h

Lieu: STOA, Campus Etterbeek (4), Pleinlaan 2, 1050 Bruxelles

Jeudi 22 octobre

Université Cahtolique de Louvain-La-Neuve

Speaker: Samia Botmeh

Modérateur: Prof. Jean Bricmont

Heure: 14h

Lieu: Auditoire Leclercq 80, Bâtiment Leclerc, Place Montesquieu 1, 1348 Louvain-la-Neuve

Vendredi 23 octobre

Université Libre de Bruxelles

Speaker: Samia Botmeh

Modérateur: Prof. Eric David

Heure: 14h

Lieu: Salle Henri Janne, l’Institut de Sociologie (15ème niveau), Avenue Jeanne 44, 1050 Bruxelles

Et le clou de la semaine Ilan Pappé et Samia Botmeh

Le Salon littéraire arabe de Bruxelles


« Du côté de chez Wallâda »

Le Salon littéraire arabe de Bruxelles
4ème édition

salon2009

Il y avait au XIème siècle, en ce pays que les Arabes nommaient « le pays des Vandales », et qui a gardé ce nom pour une toute petite partie de son territoire, dit : « Andalousie », une princesse très lettrée qui tenait salon littéraire. Elle n’était bien sûr ni prude ni voilée, maniait le verbe comme un sabre effilé, avait un sens de l’honneur démesuré (dieu nous garde des Andalouses disaient les hommes possédant un peu d’expérience). Le poète Ibn Zaydûn la raconte:

« J’aime un tyran, le sers, et lui me fait affront.
Le musc vole et s’épand aux manches de sa robe,
Si je le vois, me plains d’aimer, il se dérobe.
Je rêve quelque chose entre nous…A quoi bon ? »

Elle était ombrageuse, emportée, très belle disait-on, très instruite, et recevait dans son salon, en cette Espagne arabe bouillonnante, tout ce qui pensait, s’enflammait, écrivait.

Elle incarnait cet idéal féminin, insécable de l’action poétique, qui avait, depuis toujours, hanté la culture arabe : beauté intellectuelle, beauté de l’être de chair, beauté des manières, en trio. Ibn Zaydûn le traduisait ainsi :

« Elle est branche odorante et fruit, lune en son plein,
Ses regards dérobés infinis magiciens,
Le brocard de ses joues miroitement du vin,
Ses mots, aussitôt dits, perlent sur le chemin,
Et l’eau que je goûtais à ses lèvres, ivresse… » (la traduction est d’André Miquel)

Onzième siècle de l’ère romaine chrétienne et toute cette liberté ! Et nous, vingt siècles plus tard ? Et nous, que disons-nous ?

Au mois d’octobre, allons faire un tour du côté de chez Wallâda. Oui, jouons à ça au Centre arabe ! Poésie arabe, évidemment, ibère, comptons sur les poètes catalans et espagnols du Sud, poésie berbère, bien sûr, ils étaient là, poésie des romanisés de tout poil, Mare Nostra oblige, et poésie des Gaulois, des Vandales et des Goths actuellement en Belgique, il n’est jamais trop tard, en poésie, pour se rencontrer et se re-rencontrer!

Dès que poli, le programme s’avouera, suivez-nous dans le sillage parfumé de cette belle insolente ! Gardez un œil sur notre site ! http://www.culture-arabe.irisnet.be/salon09.htm

Le salon aura lieu les 23, 24 et 25 octobre 2009 au

Centre Culturel Arabe
2 rue de l’Alliance, 1210 Bruxelles
Info 02/218 64 74 ou culture-arabe@skynet.be

Pour ceux qui vont partir à Rafah-Gaza


GAZA : LE CRI D’ALARME ET DE DÉSESPOIR DE JANE
Interview réalisée par G. M. H. S.

anniebannie : autant savoir à quoi s’attendre

JANE A VU DES PRATIQUES QUE MÊME LES PIRES DES NAZIS N’ONT PAS EXPÉRIMENTÉES.

« l’enfermement est total à la frontière de Gaza où nous pouvons constater la déshumanisation de la civilisation des « héritiers pharaoniques »

« Le voyage sur Mars ou Jupiter semble être plus aisé que le voyage du Caire à la frontière de Rafah (moins de 500 km) ?

Jane revient, choquée et en colère, de la frontière de Rafah, d’un camping forcé de trois semaines dans le désert du nord du Sinaï.

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des protestataires interrompent le discours de Ehud Olmert à l’université de Chicago


Le 15 octobre 2009, l’ancien premier ministre israélien, Ehud Olmert, est venu donner une conférence à l’université de Chicago (Harris School of Public Policy). Furieux que l’Université ait invite un homme tenu responsable de crimes de guerre en Palestine et au Liban causant la mort de plus de 3000 personnes sous son mandat des les auditeurs ont confronté Olmert dans la salle et l’ont empêché de prononcer son discours. Le rapport Goldstone qui a enquêté sur l’attaque israélienne contre Gaza hiver dernier, alors que Olmert était premier ministre, a demandé que les dirigeants israéliens soient tenus responsables de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité. Les appareils d’enregistrement et les caméras étaient officiellement interdits à la demande d’Olmert mais Electronic intifada avait introduit une caméra malgré tout et a filmé les protestataires qui à tour de rôle se levaient pour faire une déclaration avant que la police ne les oblige à sortir.ceci est une vidéo exclusive.

La Turquie enjoint Israël de faire cesser la « tragédie » de Gaza


De Sibel UTKU BILA (AFP) –

ANKARA — La Turquie a demandé vendredi à Israël de faire cesser la « tragédie humanitaire » à Gaza, excluant un retour aux bonnes relations bilatérales après une série d’incidents tant que souffriront les Palestiniens et que les négociations de paix au Proche Orient seront au point mort.

« Ce que nous voulons, c’est qu’on mette fin à la tragédie humanitaire à Gaza, qu’on relance les efforts de paix – aussi bien au niveau des Palestiniens que de la Syrie – et surtout, qu’on redonne la priorité à la paix dans la région », a déclaré le ministre turc des Affaires étrangères, Ahmet Davutoglu, en pleine crise entre les deux alliés stratégiques dans la région.

« Lorsqu’on retournera sur la voie de la paix, ces relations de confiance (avec Israël) seront rétablies au niveau où elles étaient auparavant », a-t-il averti, ajoutant que l’offensive israélienne massive sur Gaza, à la fin de l’an dernier, avait porté « un grand coup aux efforts de paix ».

Les relations entre Israël et la Turquie, qui sont liés par une alliance militaire, se sont nettement dégradées depuis janvier, lorsque la Turquie, pays musulman, a vivement critiqué l’offensive sur Gaza.

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Le Conseil des droits de l’homme de l’ONU approuve le rapport Goldstone


Le Conseil des droits de l’homme de l’ONU a repris à son compte, vendredi 16 octobre, le rapport du magistrat indépendant Richard Goldstone faisant état de crimes de guerre du Hamas, mais surtout d’Israël, lors de leur conflit de l’hiver dernier à Gaza.

Le vote a été approuvé par 25 voix pour, 6 contre et 11 abstentions. Les Etats-Unis, l’Italie, la Hollande, la Hongrie, la Slovaquie et l’Ukraine ont voté contre ; se sont abstenus la Bosnie, le Burkina-Faso, le Cameroun, le Gabon, le Japon, le Mexique, la Norvège, la Belgique, la Corée du Sud, la Slovénie et l’Uruguay. Cinq Etats dont la France et le Royaume-Uni ont refusé de participer.

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