Centre Culturel Arabe – Arabisch Cultureel Centrum
Institut Européen de la Culture Arabe
Europees Instituut voor de Arabische Cultuur
2 rue de l’Alliance, 1210 Bruxelles – Verbondsstraat 2, 1210 Brussel
Tél. 02 218 64 74 e-mail: culture-arabe@skynet.be
9 – 10 – 11 décembre 2010
De vijfde editie van het Arabisch Literair salon (Op de rand van Fitna) zal plaatsvinden op 9, 10 en 11 december 2010. Hierbij het programma:
Programme
Jeudi 9 décembre – Donderdag 9 december
18.00:Ouverture et accueil – Opening en onthaal
18.20 à 18.50 : Discours d’accueil et d’ouverture du salon – Inleiding
18.50 à 19.20: Réception – Receptie
19.20 à 20.25: Théâtre, “Fais voir tes jambes Merryl Streep ou l’incompatibilité des êtres” – Theater (pour les détails voir infra)
20.25 à 21.00: Pause – Pauze
21.00 à 22.00: Récital poétique (voix de femmes) – Poëzievoordracht (vrouwenstemmen)
Vendredi 10 décembre
18.30 à 19.30 : Rencontres avec Najwa Barakat (Le goût d’écrire) et Burhan al Khatib (Roman arabe aujourd’hui) – Ontmoeting met Najwa Barakat en Burhan al Khatib
19.30 à 20.30: Pause (dîner – 10euro, couscous algérien) – Pauze (diner- 10euro)
20.30 à 21.30: Récital poétique avec les invités – poëzievoordracht
21.30 à 22.15: Musique et poésie avec Les Mésopotamiens – muziek en poëzie met De Mesopotamiërs (pour les détails voir infra)
Samedi 11 décembre
18.30 à 19.45: Débat (Femmes et Fitna dans la création arabe contemporaine) – Debat (Vrouwen en Fitna)
19.45 à 20.45: Pause (dîner – 10euro, dolma irakien) – Pauze (diner – 10euro)
20.45 à 22.00: Lectures – Lezingen
Activité en collaboration avec l’association Moussem
A 22.30, le samedi 11 décembre, l’association Moussem et le Centre Culturel Arabe présentent: Bayt al-Qassid, le poète syrien Lukman Derky invite des poètes arabes et bruxellois à lire de la poésie dans un café bruxellois.
Le café : The Butterfly place Surlet de Chokier, 5.1000 Bruxelles.
tel: 02/512 58 96. 10 mètres de la place Madou.
Parmi les invités de cette 5ème édition – Onder de genodigden:
Bissan Abou Khaled (Palestine), Dalia Taha (Palestine), Najwa Barakat (Liban), Abdeljabar Khoumrane (Maroc), KALIAM (Malika Benzid) (Algérie), Manhal Alsarraj (Syrie), Mina Oualdlhadj (Maroc), Hamid Aliqabi (Irak), Fatima Makhfi (Maroc), Samira Al-Mana (Irak), Hanane Derkaoui (Maroc), Zineb Laouedj (Algérie), Wafa Elbueise (Lybie), Burhan al khatib (Irak), Lukman Derky (Syrie).
Directeur du Salon: Taha Adnan
Pour les repas, réservation souhaitée.
Pour tous renseignements supplémentaires, n’hésitez pas à nous contacter au 02/218 64 74
Parmi les activité du Salon Littéraire Arabe
« Fais voir tes jambes Meryl Streep, ou l’incompatibilité des êtres »
Théâtre
De Rachid El-Daif
Mis en scène par Rahim Elasri
Une pièce où se rencontrent et se confrontent l’héritage et la modernité d’un monde arabe en perte de repère et où s’expriment les conflits des sexes et des générations.
Dans l’univers de Rachid El-Daif, le lit de l’union amoureuse se transforme en ring de combat. C’est un lieu de conflit où se confrontent tradition et modernité, ce qui persiste et ce qui résiste. Ce terrain de l’intime qu’il scrute avec un regard cru et d’où transparaissent tous les problèmes sociaux et moraux dérivés de la sexualité: la virginité, l’inceste, l’impuissance, l’infidélité, etc. Dans cette pièce, trois histoires de couple se déroulent en parallèle, se croisent, s’entrechoquent. trois femmes qui aspirent à une modernité libératrice et un homme qui résiste à ce changement.
Tous les tabous et les non-dits d’un monde arabe égaré dans ses identités. Rahim Elasri convie ses comédiens à élargir le fameux « ici maintenant » du théâtre vers un ici autrefois, un ailleurs maintenant et un autrefois ailleurs.
Avec Patricia Barakat, Gregory Carnoli, Ingrid Heiderscheidt, Nathalie Mellinger.
le jeudi 9 décembre 2010 à 19.20
L’Étincelle
Des poèmes et des sons
Un choix d’extraits des oeuvres des participants au Salon, et nos musiciens!
La parole n’illustre pas la musique; la musique n’illustre pas la parole: elles se rencontrent. Reprendre souffle dans l’oxygène de la tradition et, dans le même temps inventer, proclamer les dits de notre temps. La musique a toujours fait partie du patrimoine poétique arabe. Longtemps, la poésie européenne en restera marquée: « poète prends ton luth… ».
Il s’agit donc d’une tentative de dialogue entre l’image écrite et le son instrumental.
Dans une société où la perception visuelle est saturée, une diète auditive est une bienfaisance.
Versifiée ou en prose, un bain de poésie.
le vendredi 10 décembre 2010 à 21.30