La mise à mort de la Belgique à petit feu – De langzaam ter dood stelling van België


Ph. Grell, Ing. Civ. AILg-AIM, ENSGM (Paris), INSTN (Saclay)

 

Et tout cela parce qu’une grande majorité de Wallons ne v(p)eut pas apprendre le flamand et méprise ses locuteurs; parce qu’une grande majorité de Flamands défend à juste titre sa langue minoritaire envahie; et parce que les partis politiques et médias ex-belges se sont divisés sur ce critère stupide et divisent toujours l’opinion publique pour mieux « régner » ! Pauvre Belgique, mal gouvernée et dont le bon peuple est pris en otage depuis plus d’un siècle !!!

Quand comprendra-t-on enfin qu’il vaut mieux être multilingue et pluriculturel… et que cela peut se faire « sans peine » dès le berceau si on s’en donne les moyens !!!

A trop attendre, on court le risque d’un génocide des Belges et de leur bon sens proverbial par des Wallons et Flamands bornés et stupides !!!

 

 

En al (« ammel ») die rommel omdat een groot deel Walen geen Vlaams wil (kan) leren en haar sprekers verachten; omdat een groot meerderheid Vlamingen hun mindergesproken overweldigde taal met recht wil verdedigen; en omdat de gewezen Belgische politieke partijen en media op deze stomme taal criterium zich gesplitst hebben en nog altijd bezig zijn de publieke opinie te verdelen om beter te « heersen »! Armzalig slecht regeerde België, waarvan het goede volk sinds meer dan een eeuw als gijzelaar genomen is !!!

Wanneer zal men eindelijk verstaan dat het beter is meerder talig en plurikultureel te zijn… en dat het « zonder moeite » vanaf de wieg  kan gebeuren als men zich maar de middelen aanschaft !!!

Met te lang wachten verkeert men het gevaar, door bekrompen en domme Walen en Vlamingen, een genocide der Belgen met hun spreekwoordelijke gezond verstand te veroorzaken !!!

Ph. Grell, Burg. Ing. AILg-AIM, ENSGM (Parijs), INSTN (Saclay)

Syrie : la torture dans les prisons se généralise, alerte l’ONU


anniebannie: elle était pratiquée dès le début

La haut-commissaire de l’ONU aux droits de l’homme, Navi Pillay, a condamné lundi la généralisation de la torture dans les prisons syriennes, déplorant aussi son usage par certains des groupes armés. Dans un document de huit pages, le Haut-Commissariat, qui a interrogé 38 personnes ayant souffert de torture, fait état de témoignages anonymes terrifiants. Le rapport de l’ONU décrit une « généralisation de la torture et des mauvais traitements dans les centres du gouvernement ». Selon le rapport, plusieurs groupes armés, « en particulier l’État islamique en Irak et au Levant (EIIL), le Front al-Nosra, Ahrar al-Sham, Asifat al-Shamal et Liwa al-Tawhid, disposent de centres de détention » où hommes, femmes et enfants sont torturés, notamment depuis 2013. « Nos résultats confirment que la torture est couramment utilisée dans les centres de détention gouvernementaux en Syrie, et que la torture est également utilisée par certains groupes armés », affirme Mme Pillay. Selon le rapport, « des hommes, des femmes et des enfants sont couramment enlevés dans les rues, dans leurs maisons et sur leurs lieux de travail, ou sont arrêtés à des postes de contrôle du gouvernement, puis transférés dans un des dizaines de centres de détention officiels ou secrets du gouvernement ».

Ces personnes sont souvent détenues au secret, de façon indéfinie, et sont parfois transférées d’un centre à un autre, condamne l’ONU, qui précise que parmi les centres de détention figurent des casernes de l’armée et des aéroports. Plusieurs des cas décrits par le rapport parlent de détenus immobilisés ou suspendus au mur, les yeux bandés, et qui sont ensuite frappés, brûlés, électrocutés et torturés avec différents objets. « Alors que j’étais soumis à la suspension inversée, j’ai crié si fort qu’un garde est venu et a frappé mon estomac et ailleurs pour, m’a-t-il dit, me distraire de la douleur aux bras », raconte AZ, un activiste de 28 ans de Damas, détenu en 2011 et 2013 par le service de renseignement de l’armée de l’air à Kafr Sousa dans la région de Damas. Le Haut-Commissariat a également documenté des cas de violences sexuelles à l’encontre d’hommes et de femmes. Le plus souvent, la torture est utilisée « immédiatement après l’arrestation et durant les premiers jours ou semaines de la détention et des interrogatoires ». Selon l’ONU, la torture constitue un crime contre l’humanité lorsqu’elle est utilisée de façon généralisée.

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