Boycotter les dattes, c’est bien…


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C’est un début. Voici la liste complète des produits à boycotter; certains disent qu’elle est impossible à appliquer. C’est faux, il existe des solutions de rechange pour chacun des produits; voici d’abord une petite vidéo et ensuite la liste :

Liste des produits israéliens à boycotter

Article rédigé le 03 jan 2009, par Mecanopolis

Face au drame des Palestiniens, nous ne pouvons pas faire grande chose, a part relayer les informations qui nous parviennent. Hors cela, il y a tout de même une arme en notre pouvoir, le boycott. En effet de nombreuses entreprises, israéliennes ou non, soutiennent la politique sioniste d’occupation. En voici une liste, à vous de faire le reste:

Parmi les produits israéliens:

– Carmel (fruits et légumes) -Jaffa (fruits et légumes) – Kedem (avocats) – Coral (Cerises) – Top (fruits et légumes) – Beigel (biscuits apéritifs) – Hasat (agrumes) – Sabra (repas complets) – Osem (soupes, snacks, biscuits, repas complets préparés) – Dagir (conserves de poissons) – Holyland (miel, herbes) – Amba (conserves) – Green Valley (vin) – Tivall (produits végétariens) – Agrofresh (concombres) – Jordan Valley (dattes) – Dana (tomates cerises) – Epilady (appareils d’épilation) – Ahava (cosmétiques de la Mer morte)

Le code barre sur la plupart des produits israéliens commence par : 729

Les produits des entreprises qui soutiennent l’Etat d’Israël (américaines ou européennes)
COCA-COLA – Marques du groupe : Aquarius, Cherry Coke, Fanta, Nestea, Sprite, Minute Maid, Tropical. Cette entreprise soutient l’Etat d’Israël depuis 1966.

DANONE – Marques du groupe : Arvie, Badoit, Belin, Blédina, Phosphatine, Chipster, Evian, Galbani, Gervais, Heudebert, Lu, Taillefine, Volvic. Danone vient d’investir dans le Golan, territoire syrien occupé depuis 1967 par Israël.

NESTLÉ – Marques du groupe : Aquarel, Cheerios, Crunch, Frigor, Friskies, Galak, Golden Grahams, Kit Kat, Maggi, Mousline, Nescafé, Ricoré, Quality Street, Vittel, Perrier, Buitoni. La société suisse possède 50,1 % des capitaux de la chaîne alimentaire israélienne Osem. La firme est accusée depuis les années 50 de détruire l’économie et la santé des peuples du Tiers-Monde, notamment par l’imposition de ses laits en poudre pour bébés en Afrique, en Asie et en Amérique latine.

INTEL – Cette grosse entreprise produit la plus grande partie des puces électroniques PENTIUM 4 utilisées par les ordinateurs PC dans son usine de Kyriat Gat, installée sur le site de Iraq Al-Manshiya, un village palestinien rasé après son évacuation en 1949 par les soldats égyptiens. 2 000 habitants furent chassés de leur terre, malgré un engagement écrit, supervisé par les Nations unies, des sionistes à ne pas toucher à la population. Une campagne de leurs descendants aux USA en 2003 a amené INTEL à suspendre un projet d’investissements de 2 milliards de dollars pour une extension de l’usine Fab 18 de Kyriat Gat.

L’ORÉAL – Marques du groupe : Biotherm, Cacharel, Giorgio Armani Parfums, Lancôme, Vichy, La Roche-Posay, Garnier, Héléna Rubinstein, Gemey-Maybelline, Jean-Louis David Shampooings, Le Club des créateurs de beauté (vente de produits cosmétiques par correspondance), Redken 5th Avenue, Ralph Lauren parfums, Ushuaïa.

L’Oréal a ainsi investi des millions en créant une unité de production à Migdal Haemeck, à tel point que le Congrès juif américain a exprimé sa satisfaction de voir l’Oréal « devenir un ami chaleureux de l’Etat d’Israël ».

ESTÉE LAUDER – Marques du groupe : Aramis, Clinique, la Mer, DKNY, Tommy Hilfiger
Outre ses investissements, le directeur est le président d’une des plus puissantes organisations sionistes US, le Fonds National juif.

DELTA GALIL – Cette entreprise israélienne est spécialisée dans la sous-traitance de produits textiles notamment dans celui des sous-vêtements. De nombreux sous-vêtements de marques étrangères proviennent ainsi directement des usines de Delta Galil. C’est le cas pour Marks & Spencers, Carrefour (Tex), Auchan, Gap, Hugo Boss, Playtex, Calvin Klein, Victoria’s Secret, DKNY, Ralph Lauren.

LEVI STRAUSS JEANS ET CELIO ( magasins spécialisés dans les vêtements pour hommes)
Ces entreprises fort bien implantées en France financent les nouvelles colonies en Palestine mais également les écoles des religieux extrémistes dans le monde.

TIMBERLAND (Vêtements, chaussures, chaussettes) – Tout comme son homologue Ronald Lauder, le PDG de Timberland Jeffrey Swartz est un membre actif du lobby sioniste US. Il a conseillé ainsi d’encourager la communauté juive US à se rendre en Israël mais également d’envoyer des soldats israéliens pour mener la propagande pro-israélienne aux USA.

DISNEYLAND – L’entreprise Disney n’a rien d’idyllique et contribue par son soutien à Israël à semer la mort en Palestine. Elle approuve ainsi tacitement l’occupation illégale de Jérusalem-Est en faisant de Jérusalem lors d’une exposition au Centre Epcot en Floride la capitale d’Israël, cela en violation des résolutions internationales de l’ONU.
NOKIA – Le géant finlandais de la téléphonie commerce activement avec l’Etat d’Israël. Dans une interview au Jérusalem Post, le manager du groupe déclarait : qu’ Israël faisait partie des priorités de l’entreprise. Un centre de recherche Nokia a ainsi vu le jour en Israël.

MC DONALD’S – Entreprise emblématique de l’impérialisme culturel US, la célèbre chaîne de restaurants fast-food apporte un soutien non négligeable à l’Etat israélien. McDonald’s dispose de 80 restaurants en Israël et y emploie près de 3000 personnes. Elle y interdit à son personnel de parler arabe. Aux USA, l’entreprise figure parmi les heureux partenaires de l’organisation sioniste «Jewish Community » basée à Chicago. Cette organisation travaille en effet pour le maintien de l’aide militaire, économique et diplomatique apportée par les USA à Israël.

CATERPILLAR (Equipement pour bâtiment mais également, vêtements, chaussures) – Une large campagne doit être menée en France pour dénoncer la participation criminelle de Caterpillar aux destructions des maisons en Palestine par ses bulldozers géants. C’est avec un Caterpillar que la pacifiste américaine juive Rachel Corrie a été tuée par un soldat israélien en 2003.

La chaîne hôtelière ACCORHOTEL (Etap, Ibis, Mercure, Novotel, Sofitel) – Cette chaîne a plusieurs hôtels en Israël, et récemment, elle a ouvert une succursale dans les territoires syriens occupés, dans le Golan.

Les chaînes alimentaires présentes dans les colonies israéliennes : Domino Pizza, Pizza Hut, Häagen Daaz, Burger King

Autres produits : Cigarettes Morris (dont Marlboro), Produits Kimberly-Clarck (Kleenex, Kotex, Huggies), SanDisk (informatique), Toys RUs (jouets)

Le boycott des produits israéliens est-il légal ?


Entretien avec Jean-Claude Willem

Jean-Claude Willem, 75 ans, raconte dans cet entretien comment, alors qu’il était maire (PCF) de Seclin, une bourgade française de 12’000 habitants, il a été emporté par une tornade judiciaire de sept ans et condamné à 1’000 euros d’amende pour avoir déclaré son intention d’écarter des cantines de l’école communale les jus de fruit provenant des colonies illégales israéliennes. En définitive, son recours vient d’être rejeté par la Cour européenne des droits de l’Homme de Strasbourg (CEDH).

Tout en reconnaissant l’intention légitime de Jean-Claude Willem de lutter contre l’apartheid, la Justice française a considéré qu’en l’espèce, un boycott des produits de l’apartheid israélien revenait à une discrimination économique contre les producteurs de nationalité israélienne. De ce fait, elle l’a condamné à la fois comme un citoyen appelant à la discrimination sur une base nationale et comme un élu manquant à la neutralité de sa charge.
Franchissant un pas supplémentaire, la Cour européenne lui a reproché de faire justice lui-même en décidant d’un boycottage en lieu et place des autorités gouvernementales.

suite : interview de Silvia Cattori

Israël tente de légaliser l’entrée des produits issus de ses colonies


mardi 21 juillet 2009 – 06h:08

Generaldelegation Palaestinas

agrexco

En achetant les produits Agrexco [Carmel], vous soutenez l’occupation et vous empêchez une économie stable, qui est un fondement essentiel pour le futur Etat de Palestine.

(JPG) Sous le couvert de l’étiquette « Made in Israël », des marchandises issues des colonies israéliennes sont vendues sur le marché européen. Ces ventes sont illégales, car en contravention avec l’Accord d’association UE/Israël.

Une part considérable des produits exportés d’Israël est issue des colonies et est importée illégalement en Europe. Ce commerce illégal couvre plus de 150 produits israéliens.

Il s’agit essentiellement de produits d’origine agricole que des sociétés israéliennes manufacturent dans des territoires palestiniens illégalement occupés et qu’elles vendent sous une fausse appellation sur les marchés internationaux.

Une part considérable de ces produits israéliens sont récoltés dans les colonies israéliennes, manufacturés et centralisés par des organisations israéliennes comme « Agrexco » puis mêlés à des marchandises israéliennes.

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Le boycott culturel est une nécessité


Ilan Pappé – The Electronic Intifada

S’il y a un fait nouveau dans l’interminable triste histoire de la Palestine, c’est le changement manifeste que subit l’opinion publique au Royaume-Uni, écrit Ilan Pappé.

Le boycott international d’Israël a atteint une vitesse irrésistible. (Mushir Abdelrahman/MaanImages)
Le boycott international d’Israël a atteint une vitesse irrésistible. (Mushir Abdelrahman/MaanImages)

Le boycott international d’Israël a atteint une vitesse irrésistible. (Mushir Abdelrahman/MaanImages)

Je me souviens de mon arrivée dans les îles Britanniques, en 1980, quand le soutien à la cause palestinienne était uniquement le fait de la gauche, et encore, celle d’un courant idéologique bien spécial. L’immunité dont jouissait Israël était due en grande partie au traumatisme postérieur à l’holocauste et au complexe de culpabilité qu’il avait engendré, aux intérêts militaires et économiques et à la fable selon laquelle Israël était la seule démocratie du Moyen-Orient.

Ils étaient apparemment peu nombreux ceux qui se sentaient concernés par un état qui avait dépossédé la moitié de la population palestinienne autochtone dont il avait détruit les villes et les villages, qui en outre discriminait la minorité palestinienne vivant dans ses frontières par un système d’apartheid et répartissait dans des enclaves, deux millions et demi d’entre eux sous une occupation militaire dure et oppressive.

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Boycott des dattes israéliennes : nos amis belges montrent la voie


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Nos amis de la Coordination Boycott Israël en Belgique viennent de mener une action importante de sensibilisation des commerçants et de la population de Bruxelles concernant le boycott des dattes israéliennes. Voir texte et photos de l’action.

« Jeudi 25 juin nous avons mené pour la deuxième fois une action devant l’entrée du marché matinal à Bruxelles : là se trouvent les importateurs de dattes. Entre 5 et 7 heures du matin, une vingtaine de militants en T-shirts verts ont distribué des tracts (« n’achetez pas les grosses dattes ») en quatre langues à tous les commerçants qui entraient dans le site.

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VICTOIRE ! Veolia abandonne le projet de tramway à Jérusalem sous les pressions politiques


Par Omar Barghouti

En une première victoire géante et éclatante du mouvement mondial BDS dans le domaine de la responsabilité des entreprises et de la conformité éthique, Veolia abandonne le projet de tramway léger de Jérusalem, projet illégal qui vise à relier les colonies israéliennes construites sur le territoire palestinien occupé à la ville de Jérusalem.

Février 2008, la construction du tramway colonial (photo Anne Paq/ActiveStills)
Février 2008, la construction du tramway colonial (photo Anne Paq/ActiveStills)

Comme l’admet l’article du Ha’aretz, le succès de la campagne BDS, qui a coûté à Veolia quelques 7 milliards de dollars de contrats, est à l’origine de la décision prise par la compagnie dans la tourmente de se retirer du projet.

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Le Boycott commence à mordre sur les compagnies qui soutiennent l’occupation militaire de la Palestine par Israël


par Nadia Hijab, CounterPunch. Posté le 4 mai 2009

« Quand des compagnies se mettent à perdre de l’argent, elles se mettent à écouter. »

Le 4 mai des manifestants accueilleront des actionnaires de Motorola déjà mécontents des pertes de la compagnie, quand ils arriveront à leur rencontre annuelle au Théâtre Rosement à Chicago, Illinois.

La manifestation organisée par la Campagne US pour mettre fin à l’occupation israélienne, fait partie d’une campagne « Raccroche Motorola » jusqu’à ce qu’il mette fin à ses ventes en communication et autres produits qui soutiennent l’occupation militaire du territoire palestinien.

A l’intérieur de la rencontre, les Presbytériens, les Méthodistes unifiés et d’autres églises insisteront auprès des actionnaires pour soutenir une résolution appelant à des normes d’entreprises basées sur le droit international. Faire ce qui est juste pourrait aussi réduire le risque de « boycotts de consommateurs, de désinvestissements et de poursuites judiciaires. »

Bien que la direction de Motorola le nie, un tel risque doit avoir joué un rôle dans leur décision de vendre le département de fabrication de détonateurs de bombes peu après que des équipes de Human Rights Watch aient trouvés des shrapnels avec des numéros de série Motorolea sur certains sites civils bombardés par Israël dans son attaque de décembre-janvier sur Gaza.

Les manifestations US font partie d’un mouvement global croissant qui a pris le droit international dans ses propres mains parce que les gouvernements ne l’ont pas fait. Et spécialement après Gaza, les boycotts commencent à mordre. Et cela pour trois raisons.

Premièrement, des boycotts permettent à des citoyens ordinaires de mener une action directe. Par exemple, le groupe Adalah de New York a décidé de viser le diamantaire Lev Leviev dont les profits sont investis dans la colonisation de la Cisjordanie. Pendant la période de Noël ils chantent des chants de Noël avec les mots créativement modifiés pour inciter les acheteurs à boycotter ses magasins de la Madison Avenue.

Le groupe britannique Architectes et Urbanistes pour la Justice en Palestine a fait équipe avec Adalah NY et d’autres pour exercer une pression publique sur le gouvernement britannique concernant Leviev. L’ambassade britannique à Tel Aviv a récemment annulé des plans pour louer des locaux de la compagnie Afrique-Israel de Leviev.

Il y a d’autres résultats. Des militants en Grande Bretagne ont visé la chaîne de supermarchés Tesco pour qu’elle cesse les achats de biens israéliens produits dans les colonies. Dans une vidéo d’une de ces actions – plus de 38.000 opinions sur YouTube à ce jour – des militants gallois chargent un chariot avec des produits des colonies et le poussent hors du magasin sans payer.

Pendant ce temps, ils expliquent calmement à la caméra ce qu’ils sont en train de faire et pourquoi. Ils ne s’arrêtent pas de parler tout en versant de la peinture rouge sur les produits et tandis que des flics britanniques les conduisent tranquillement dans une camionnette de la police.

Le résultat d’un tel boycotts de consommateurs ? Un cinquième des producteurs israéliens signalent une chute dans la demande depuis l’attaque contre Gaza, surtout en Grande Bretagne et en Scandinavie.

La deuxième raison pour laquelle les boycotts sont plus efficaces est le rôle visible des défenseurs juifs des droits humains, rendant plus difficile pour Israël de prétendre que ces actions sont antisémites.

Par exemple, l’architecte britannique Abe Hayeem, un Juif irakien, décrit dans une colonne passionnée dans le Guardian exactement comment Leviev piétine les droits des Palestiniens et met en garde les architectes israéliens impliqués dans les colonies, qu’ils seront tenus pour responsables par leurs pairs internationaux.

Aux Etats-Unis, la Voix juive pour la Paix a mené une campagne en cours pour stopper Caterpillar de vendre des bulldozers à Israël, qui les militarise et les utilise pour démolir des maisons et pour construire le mur de séparation.

La troisième raison majeure pour le succès croissant de ce mouvement global est le leadership déterminé de la société civile palestinienne. L’étincelle a été allumée lors de la Conférence mondiale contre le racisme à Durban en 2001. En 2004, la société civile palestinienne a lancé un boycott académique et culturel qui a un impact.

En 2005, plus de 170 coalitions de la société civile palestinienne, des organisations et des syndicats des territoires occupés, à l’intérieur d’Israël, et en exil ont lancé un appel officiel pour une campagne internationale de boycott, de désinvestissement et de sanctions (BDS) jusqu’à ce que Israël respecte le droit international. L’appel propose des objectifs clairs pour le mouvement et fournit un cadre pour l’action.

En novembre 2008, des ONGs palestiniennes ont aidé à l’organisation d’une conférence internationale BDS à Bilbao, Espagne pour adopter des actions communes. C’est ce qui a lancé la campagne « Faire dérailler Veolia ». Cette entreprise multinationale française, avec une autre compagnie française Alstom, est en train de construire une voie ferrée légère reliant Jérusalem-Est à des colonies illégales.

Ce projet de rail léger a été cité par le fonds de pension national suédois dans sa décision d’exclure Alstom de son portefeuille $15 milliards, et par le conseil de Sandwell Metropolitan Borough dans sa décision de ne plus prendre en considération plus longtemps l’offre de Veolia pour un plan de $1,9 milliards d’améliorations des déchets. Dans les deux régions, il y a eu des campagnes actives de la base.

D’autres beaux coups, Veolia a perdu le contrat pour faire fonctionner le métro à Stockholm et un réseau urbain à Bordeaux. Bien que ceux-ci aient été rapportés comme des « décisions d’affaire » il y a eu aussi des campagnes de militants dans les deux endroits Le conseil de la ville de Galway en Irlande a décidé de suivre l’exemple de Staockholm. Entre temps, Connex, la compagnie qui est supposée faire fonctionner le transport urbain sur rail est aussi visé par des militants en Australie.

La campagne « Faire dérailler Veolia » a été le plus grand succès du mouvement à ce jour. On estime que Veolia et ses filiales ont subi une perte de l’ordre de $7,5 milliards.

Comme le dit un des dirigeants du mouvement BDS, « Quand des compagnies se mettent à perdre de l’argent, elles se mettent à écouter. » Des gouvernements aussi peut-être.

Reçu par courriel

Georges Frêche veut implanter l’entreprise israélienne Agrexco à Sète !


freche

mercredi 27 mai 2009 – par José Luis Moraguès

EN PLEINE CAMPAGNE INTERNATIONALE DE BOYCOTT D’ISRAËL, LE CONSEIL REGIONAL LANGUEDOC-ROUSSILLON PAR LA VOIX DE G. FRÊCHE VEUT IMPLANTER L ENTREPRISE ISRAÉLIENNE AGREXCO A SETE !

Depuis bientôt 6 mois, le président de la région Languedoc-Roussillon, Georges Frêche en personne, a lancé sa campagne de marketing pour la promotion de l’entreprise israélienne d’import/export AGREXCO (fruits et légumes et fleurs) et son implantation dans le port de Sète à grand coup « de création d’emplois » : 200 emplois grâce à Israël promet-il sur tous les médias…

Depuis des décennies la situation de l’emploi est dramatique dans la région et les politiques libérales nationales mais aussi régionales plus récentes n’ont fait qu’aggraver la situation. L’invocation de « la crise » ne saurait en aucun cas justifier ni dédouaner, ceux qui, aux postes de commande, sont tout de même les artisans de ces politiques. Si bien que quand un de ces responsables se présente en créateur d’emploi sur fond d’élections régionales, il y a tout lieu de se méfier.

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Vidéo de la manifestation contre la venue du fasciste Lieberman a Paris


Publié le 9-05-2009
Paris le 5 Mai 2009

Manisfestation du 5 Mai 2009 contre la venue du fasciste Liberman. Nous saluons le courage des deux jeunes gens qui sont allés crier leur indignation devant le passage de Lieberman et nous vous appelons à demander à Monsieur Kouchner ce qu’ils sont devenus.

Réalisation : L’équipe vidéo « Palestine Vivra »
Musique : Kery James – Avec le cœur et la raison

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