Publié le lundi 13 octobre 2014 à 07h00 – Mis à jour le lundi 13 octobre 2014 à 07h03

Les demandeurs d’asile pèsent sur notre sécurité sociale et coûtent une fortune à la Belgique. Voilà des considérations sur les réfugiés qui ne se vérifient pas, selon Johan Wets, chercheur au sein de l’université louvaniste, qui a mené cette étude, en collaboration avec l’ULB, en se basant sur les statistiques de la Banque Carrefour de la Sécurité sociale.
Il ressort que 55% des demandeurs d’asile régularisés en 2005 travaillaient deux ans plus tard. Deux ans avant la régularisation, ce pourcentage ne dépassait pas les 14%.
Sur la même période, le nombre de demandeurs d’asile qui vivent grâce aux aides du CPAS est lui passé d’environ 80% à 30%.

