Nouveau convoi d’aide pour Gaza en partance d’Inde


AFP

Mis en ligne le 05/10/2010

500 militants pro-palestiniens de 17 pays, dont la Turquie, quitteront le 2 décembre New Delhi (Inde) à destination de Gaza, a indiqué l’IHH sur son site internet.
Une ONG de charité islamiste turque qui avait parrainé en mai une expédition maritime d’aide pour Gaza qui s’était soldée par la mort de neuf militants turcs, a annoncé mardi l’organisation d’un convoi terrestre en partance d’Inde pour cette zone sous blocus israélien. 500 militants pro-palestiniens de 17 pays, dont la Turquie, quitteront le 2 décembre New Delhi (Inde) à destination de Gaza, a indiqué l’IHH sur son site internet. Le convoi terrestre a prévu d’atteindre Gaza le 27 décembre, date anniversaire de l’offensive israélienne contre ce territoire contrôlé par le mouvement islamiste Hamas en hiver 2008/2009, selon un communiqué.
L’expédition traversera l’Inde, le Pakistan, l’Iran, la Turquie et la Syrie. De là, le convoi empruntera la mer pour atteindre, à terme, sa destination finale. L’IHH, une ONG islamiste dont le siège est à Istanbul et qui opère dans plusieurs zones de conflit de la planète, organisera la partie turque de l’expédition. L’IHH avait co-parrainé la flottille d’aide internationale pour Gaza arraisonné le 31 mai par des commandos israéliens. Neuf militants turcs avaient été tués dans des affrontements, soulevant une vague de réprobation internationale.

Des Belges vont à nouveau tenter de briser le blocus de Gaza


Dans la foulée de la flottille humanitaire internationale pour la liberté (Freedom Flotilla), des organisations et des citoyens belges, dont certains anciens passagers de la flottille, ont décidé de participer à une nouvelle flottille qui prendra le large cet automne en direction de Gaza, indiquent vendredi les membres du projet dans un communiqué de presse.

Réunis sous la plate-forme « Belgium to Gaza », ils tenteront à nouveau de briser le blocus de Gaza. L’objectif est d’atteindre Gaza avec un groupe de citoyens belges et de l’aide humanitaire. « Car le blocus continue de plonger la population palestinienne dans des conditions de vie extrêmement difficiles.

C’est pour dénoncer cette situation intolérable que des citoyens belges ont décidé de se mobiliser », expliquent les membres du projet.
En mai dernier, une première flottille humanitaire internationale avait décidé de mettre le cap sur la bande de Gaza dans le but de briser le blocus. Bien qu’il se trouvait dans les eaux internationales, le convoi avait alors été arraisonné par l’armée israélienne et l’opération s’était soldée par la mort de neuf passagers. (belga)

01/10/10 18h02

Les militants juifs ont en réalité été brutalisés par les soldats israéliens



29/09/2010
Mardi, neufs militants juifs, venus des États-Unis, d’Europe et d’Israël, ont été arrêtés par les soldats de l’Israel Defense Forces (IDF) alors qu’ils tentaient de briser le blocus en entrant à Gaza par la mer. Selon les premiers témoignages, l’abordage se serait déroulé de façon pacifique, sans accrochage entre les soldats et les militants.

Seulement voila, ces témoignages venaient de porte-parole de l’armée israélienne, et celle-ci avait alors un monopole de l’information, puisque les militants étaient alors détenus et n’avaient pu être entendus. Les militants, une fois arrêtés ont été conduits dans le port d’Ashdod pour y être interrogés. Une fois libérés, les témoignages des militants diffèrent de ceux de l’armée.

Cité par le journal israélien Haaretz, Yonatan Shapira, militant pacifiste, ancien pilote de l’armée de l’air israélienne, a déclaré qu’il n’y avait « pas de mots pour décrire ce qui s’est passé pendant l’assaut. » Shapira insiste sur le comportement non-violent des militants, qui contraste avec l’extrême brutalité des soldats. Les soldats « nous ont sauté dessus et ils nous ont frappé. J’ai moi même reçu un coup de Taser » déclare Shapira, qui ajoute qu’il y a « un gouffre entre la version officielle de l’armée et la réalité de l’attaque. »

Eli Usharov, journaliste israélien de la chaîne de télévision Channel 10, qui avait embarqué à Chypre à bord du navire en compagnie des militants, a confirmé pour Haaretz le récit de Yonatan Shapira ainsi que l’usage d’une violence non justifiée. « Ils ont tiré au Taser sur Yonatan. Il s’est mis à crier, puis a été emporté sur le navire militaire » déclare Usharov, qui ajoute que Yonatan ainsi que son frère ont été menottés. En revanche, il semblerait que l’atmosphère se soit quelque peu détendue à bord du navire militaire et que les militants aient pu débattre franchement avec les soldats.

Pour finir, Shapira a déclaré que lui et ses compagnons étaient fiers de leur action et que quinconque se taisait face aux crimes commis à Gaza devenait complice de ce crime. Reuven Moskowitz, survivant de l’Holocauste a même déclaré : « Ce qui m’est arrivé pendant l’Holocauste me fait faire des cauchemars toutes les nuits. Je ne veux pas que nous fassions la même chose à nos voisins. Oui, je compare ce que j’ai enduré avec ce qu’endurent les enfants palestiniens assiégés. »

http://french.pnn.ps/index.php?option=com_content&task=view&id=5111&Itemid=1

Le convoi terrestre humanitaire pour Gaza arrive à la frontière gréco-turque


mercredi 29 septembre 2010, par La Rédaction

Une dizaine de véhicules, avec à bord 40 militants de l’organisation Viva Palestine en route pour Gaza, se dirigeait lundi 27 septembre vers Istanbul après avoir quitté Alexandroupolis (Grèce) près de la frontière avec la Turquie, a-t-on appris de source policière locale. Comprenant des vans, des voitures, des ambulances, ce convoi est passé samedi par Salonique, deuxième ville grecque, dans le nord du pays, a indiqué la même source. Arborant des drapeaux palestiniens, le convoi prévoyait d’arriver lundi à Istanbul et de se rendre ensuite en Égypte, selon la source policière.
Selon le site de l’organisation, le convoi terrestre a quitté Londres le 12 septembre, s’est arrêté à Lyon (France) et à Milan (Italie) avant d’arriver en Grèce, d’où il prévoit de continuer dans l’objectif de finalement parvenir à Gaza.
Viva Palestine est une organisation fondée par l’ancien député britannique George Galloway, opposé à la guerre en Irak, qui a déjà organisé trois autres convois du même type pour Gaza au cours des 18 derniers mois, pour amener des véhicules et de l’aide matérielle à Gaza. Une flottille humanitaire qui tentait de briser le blocus à Gaza, comprenant sept bateaux, avait été prise d’assaut par la marine israélienne le 31 mai. Le bateau turc, Mavi-Marmara, avait été le plus visé par l’assaut israélien, qui avait coûté la vie à neuf passagers turcs.

(Mercredi, 29 septembre 2010 – Avec les agences de presse)

Photo : L’ancien député britannique Gorge Galloway, troisième à partir de la gauche, qui dirige l’association « Viva Palestine », en recueillement au cimetière Musulman d’Istanbul, en compagnie des représentants de l’organisation turque IHH. Mardi, 28 septembre 2010.

Ces pacifistes juifs qui défient le blocus de Gaza


Sept pacifistes juifs d’Europe, d’Amérique et d’Israël, et deux journalistes, qui avaient appareillé dimanche de Famagouste, dans le nord de Chypre, à bord d’un petit voilier battant pavillon britannique, Irene, à destination de la bande de Gaza, ont été interceptés mardi matin par la marine israélienne.

Israël est bien déterminé à empêcher un bateau de pacifistes juifs, dont un survivant de la Shoah, d’arriver à Gaza. Mais le coût politique et les dégâts en termes d’image pourraient être élevés si l’opération tourne mal.

Publié le 28/09/2010

Reuven Moshkovitz, Israélien de 82 ans, survivant de la Shoah, à bord du bateau Irene © AFP / B. Bebek

« Dix navires de guerre israéliens ont forcé le bateau à faire route vers Ashdod (ndlr : port israélien) », a déclaré Amjad al-Shawa, l’un des organisateurs qui se trouvait à terre à Gaza. « Ils se sont rendus parce qu’ils étaient encerclés, ils n’avaient pas le choix », a-t-il ajouté. Selon l’armée israélienne, il n’y a eu aucun iincident.

L’opération « Irene », dont le budget dépasse les 20.000 livres (soit 23.500 euros), a été financée par des dons récoltés notamment par différentes branches de l’organisation « Juifs européens pour une paix juste ». A bord était embarquée une petite cargaison de jouets, livres, matériel de pêche ou encore médicaments, « une aide symbolique » pour la population de Gaza.

source

Souper palestinien le vendredi 8 octobre


C’est dans 10 jours qu’aura lieu le souper de la Plate-forme Charleroi-Palestine en soutien à « Belgium to Gaza », un regroupement d’associations, à laquelle appartient aussi notre Plate-forme et qui oeuvre pour l’envoi d’une nouvelle flottille, avec une forte délégation belge, à Gaza.
(plus d’info sur : www.belgiumtogaza.com)

Yasser nous préparera un délicieux plat palestinien.

Nous montrerons un extrait du film « To shoot an elephant » (« Tuer un éléphant ») concernant la guerre d’agression israélienne contre la population de Gaza en 2008-2009.

Et nous sommes heureux d’accueillir Fatima et Kenza, passagères sur le bateau « Mavi Marmara » de la flottille précédente.
Elles témoigneront et présenteront la campagne « Belgium to Gaza »

Ce sera une belle occasion aussi pour nous retrouver avec les membres et sympathisants de la Plate-forme, les amis, la famille.

La soirée se passe à la Maison du Peuple de Dampremy
(Rue Destrée, 11 à Dampremy)

Programme :

* 19 h : accueil, stands
* 19 h 30 : souper
* 21 h : interventions de Fatima et Kenza, film et échanges

Participation au repas et à la soirée : 15 €.

(gratuit pour les enfants de moins de 10 ans)
La réservation est indispensable

– soit par mail à cette adresse

– soit par téléphone au 0497 53 50 34 (Freddy)
ou 0473 28 63 75 (Myriam)

Merci de faire parvenir ce mail aux membres de votre association, à vos amis, vos connaissances et de faire votre réservation.

Bien à vous,

Myriam

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Sur le site www.pourlapalestine.be, des infos, des analyses, des vidéos… chaque jour !

« Belgium to Gaza »


un regroupement d’organisations et d’individus belges qui s’engagent pour dénoncer le blocus de Gaza.

Cet automne, dans le but de briser ce blocus, une délégation belge, faisant partie de la flottille internationale, naviguera vers Gaza.

Le prix coûtant d’un bateau, y compris l’équipage, le fuel et les coûts administratifs, est de 300.000 €.
Belgium to Gaza espère pouvoir larguer les amarres de son propre bateau.

Si cela n’est pas possible, la Belgique se joindra à d’autres pays pour l’acquisition d’un bateau sur lequel la Belgique sera représentée. Pour plus d’info sur « Belgium to Gaza », consultez http://www.belgiumtogaza.com

Afin d’aider à la récolte d’argent, la Plate-forme Charleroi-Palestine organise

une soirée avec souper

le vendredi 8 octobre dès 19 h

à la Maison du Peuple de Dampremy (Rue Destrée, 11)

Programme :

* 19 h : accueil, stands
* 19 h 30 : souper
* 21 h : interventions de Fatima et Kenza, passagères sur le bateau « Mavi Marmara » de la flottille précédente, film et échanges

Participation au repas et à la soirée : 15 €.
Réservation indispensable au
0497 53 50 34

ou 0473 28 63 75

La « flottille des femmes » vers Gaza quittera le Liban dimanche 22 août


Rompre le blocus de Gaza

jeudi 19 août 2010, par La Rédaction

Les quelque cinquante femmes qui vont embarquer souhaitent briser le blocus israélien…
C’est pour dimanche. Le comité organisateur de la « flottille des femmes » a annoncé ce jeudi que le bateau d’aide humanitaire, qui doit briser par la mer le blocus israélien de la bande de Gaza, quittera dimanche le Liban pour Chypre.

Des religieuses, des intellectuelles et une femme enceinte

Le bateau, qui bat pavillon bolivien, « partira pour Chypre dimanche à 22 heures locales (minuit lundi matin, heure française) du port de Tripoli », a indiqué à la presse Samar el-Hajj, l’organisatrice de l’expédition. Baptisé « Mariam » en l’honneur de la Vierge Marie, le cargo chargé de médicaments et d’instruments médicaux est actuellement amarré au port de Tripoli, dans le Nord du Liban, et ne doit transporter que des femmes, de divers pays et religions.

A son bord, un groupe de religieuses américaines, des médecins, des avocats, des militantes, des journalistes, la chanteuse libanaise May Hariri, et même une femme enceinte. Cette dernière a décidé de participer à la « flottille des femmes » car elle considère que le blocus est injuste : « Ces gens ont besoin d’aide », selon elle.

Ces quelque 50 femmes (dont 30 Libanaises) ont toutes pris le nom du bateau pour identité, et se reconnaissent par le numéro qui y est accolé, « pour éviter de subir les pressions des ambassades », indique Samar el-Hajj, l’une des organisatrices.

« Aucun rapport avec le Hezbollah »

« Nous sommes des femmes indépendantes désireuses de briser le blocus de Gaza », avait auparavant expliqué Samar el-Hajj, notant que ces militantes n’étaient affiliées à aucun mouvement. « Cela n’a aucun rapport avec le Hezbollah », le parti chiite libanais. C’est Free Gaza (une coalition d’organisations pro-palestiniennes et déjà organisatrice de la « flottille de la liberté », cible d’un arraisonnement israélien sanglant le 31 mai dernier) qui est en charge de la logistique du projet.

Le mouvement, soutenu par des personnalités dont le prix Nobel de la paix 1976 ou l’intellectuel juif américain Noam Chomsky, est accusé par Israël d’accueillir des éléments favorables au Hamas et d’autres islamistes représentant une menace pour sa sécurité. De plus, si Samar Al-Hajj affirme que la « flottille des femmes » est purement humanitaire, Israël ne voit pas d’un bon œil le départ du bateau du Liban, pays avec lequel il est techniquement en état de guerre, et craint que le Mariam ne transporte en fait des armes pour Gaza.

Départ repoussé

Ainsi, alors que l’équipage du Mariam avait espéré partir il y a plusieurs semaines, son départ a été repoussé : l’Etat hébreu a lancé une mission diplomatique au Liban pour empêcher la mission. Malgré tout, le gouvernement libanais a donné son autorisation pour que le bateau rejoigne Chypre, la première étape de son périple, tout en se déchargeant de toute responsabilité, a rapporté mardi le Guardian.

« L’ambassadeur de Chypre à Beyrouth a tenté de nous convaincre de ne pas y aller en affirmant que son pays n’allait pas nous donner l’autorisation pour nous diriger vers la bande de Gaza », a expliqué Samar el-Hajj à l’AFP, ajoutant « mais nous insistons : nous n’avons pas d’armes et nous irons à Gaza », sans pour autant préciser comment les militantes comptaient s’y prendre.

Israël utilisera les « mesures nécessaires » pour les arrêter

L’ambassadeur d’Israël à l’ONU, Gabriela Shalev, a en effet averti que Israël se réserve le droit d’utiliser les « mesures nécessaires » en conformité avec le droit international pour arrêter le navire. Les participantes connaissent bien les dangers de ce type de périple, et Samar Al-Haj leur a rappelé qu’une confrontation était très possible. Elle leur recommandé de faire « des analyses de sang », au cas où le bateau serait attaqué et où certaines passagères auraient « besoin d’une transfusion sanguine ».

Elle a ajouté que les organisateurs allaient tout faire pour ne pas provoquer Israël et montrer qu’ils sont totalement pacifiques. « Nous n’allons même pas porter des couteaux de cuisine », dit-elle. L’une des passagères a affirmé qu’en cas d’assaut militaire israélien, elles « ne prévoient pas de se battre ou d’attaquer », mais ne quitteront pas le navire. Plus facile à dire qu’à faire.

Photo : L’organisatrice de la « flottille des femmes », Samar al-Hajj, annonce à la presse le départ prochain du Mariam, qui doit briser le blocus israélien de la bande Gaza, dans le port de Tripoli, au Liban, le 19 août 2010. Hussein Malla/AP/SIPA

(Avec les agences de presse – Jeudi 19 août 2010)

30 ONG italiennes à bord de la 2ème flottille pour Gaza


13/08/2010 Trente organisations non gouvernementales italiennes ont décidé de rejoindre la deuxième flottille de la liberté pour briser le blocus de Gaza qui devrait entamer son deuxième voyage avant la fin de l’an.

Selon le chef de l’Association palestinienne en Italie et membre de la campagne européenne, Mohammad Hanoune, des dizaines de personnalités italiennes feront également partie du voyage, dont des journalistes.
Un comité a été formé pour assurer le lien entre la campagne et le public italien. Il devrait préparer des rencontres avec des politiciens italiens dans le but de leur expliquer ses actions et les exhorter à agir pour mettre fin au blocus israélo-égyptien imposé contre la Bande de Gaza depuis trois ans déjà.

Malgré l’attaque israélienne meurtrière perpétrée depuis deux mois contre la première flottille de la liberté, coûtant la vie à 9 pacifistes turcs, le nombre de ceux qui ont exprimé leur volonté de rejoindre la deuxième flottille dépasse désormais les 10 milles personnes auxquels devraient s’ajouter les représentants de trente cinq institutions médiatiques européennes. Sachant qu’il est question d’une flottille comprenant une soixantaine de bateaux.

Les organisateurs voudraient assurer une plus grande couverture médiatique de cette deuxième flottille pour dévoiler au monde entier les agressions que l’entité sioniste se permet contre des activistes pacifistes venus des quatre coins du monde .

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