Louvain : jeudi 12 février 2009


LAAT GAZA LEVEN/
LAISSEZ VIVRE GAZA

Herdenk met ons de slachtoffers in Gaza
Commémoration des victimes de Gaza

AK00000001

Waar: Martelarenplein, 3000 Leuven (voor het station)
Place des Martyrs, 3000 Leuven (Louvain) devant la gare

Wanneer: Donderdag 12 februari 2009 – 17 u. tot 18 u.
Quand : jeudi 12 février de 17 à 18 heures

1.300 kaarsen voor 1.300 slachtoffers
1.300 bougies pour 1300 victimes

Breng zelf kaarsjes (theelichtjes) mee.
Apportez vos bougies.

Tussen 17 u. en 18 u. wordt er een programma voorzien om de slachtoffers in Gaza te herdenken met speeches, gedichten, muziek, aansteken van kaarsjes, …
De 17 à 18 heures un programme à la mémoire des victimes de Gaza avec discours, poèmes, musique et allumage de bougies…

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LeCoTo
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p/a: Windmolenstraat 44, 3000 Leuven

Effacez le nom de mon grand-père à Yad Vashem


Cet article peut être consulté ici :
yadvashem

jeudi 29 janvier 2009

Monsieur le Président de l’Etat d’Israël,

Je vous écris pour que vous interveniez auprès de qui de droit afin que l’on retire du Mémorial de Yad Vashem dédié à la mémoire des victimes juives du nazisme, le nom de mon grand-père, Moshe Brajtberg, gazé à Treblinka en 1943, ainsi que ceux des autres membres de ma famille morts en déportation dans différents camps nazis durant la seconde guerre mondiale.

Je vous demande d’accéder à ma demande, monsieur le président, parce que ce qui s’est passé à Gaza, et plus généralement, le sort fait au peuple arabe de Palestine depuis soixante ans, disqualifie à mes yeux Israël comme centre de la mémoire du mal fait aux juifs, et donc à l’humanité tout entière.

Voyez-vous, depuis mon enfance, j’ai vécu dans l’entourage de survivants des camps de la mort. J’ai vu les numéros tatoués sur les bras, j’ai entendu le récit des tortures ; j’ai su les deuils impossibles et j’ai partagé leurs cauchemars.

Il fallait, m’a-t-on appris, que ces crimes plus jamais ne recommencent ; que plus jamais un homme, fort de son appartenance à une ethnie ou à une religion n’en méprise un autre, ne le bafoue dans ses droits les plus élémentaires qui sont une vie digne dans la sûreté, l’absence d’entraves, et la lumière, si lointaine soit-elle, d’un avenir de sérénité et de prospérité.

Or, monsieur le président, j’observe que malgré plusieurs dizaines de résolutions prises par la communauté internationale, malgré l’évidence criante de l’injustice faite au peuple palestinien depuis 1948, malgré les espoirs nés à Oslo et malgré la reconnaissance du droit des juifs israéliens à vivre dans la paix et la sécurité, maintes fois réaffirmés par l’Autorité palestinienne, les seules réponses apportées par les gouvernements successifs de votre pays ont été la violence, le sang versé, l’enfermement, les contrôles incessants, la colonisation, les spoliations.

Vous me direz, monsieur le président, qu’il est légitime, pour votre pays, de se défendre contre ceux qui lancent des roquettes sur Israël, ou contre les kamikazes qui emportent avec eux de nombreuses vies israéliennes innocentes. Ce à quoi je vous répondrai que mon sentiment d’humanité ne varie pas selon la citoyenneté des victimes. Par contre, monsieur le président, vous dirigez les destinées d’un pays qui prétend, non seulement représenter les juifs dans leur ensemble, mais aussi la mémoire de ceux qui furent victimes du nazisme. C’est cela qui me concerne et m’est insupportable.

En conservant au Mémorial de Yad Vashem, au coeur de l’Etat juif, le nom de mes proches, votre Etat retient prisonnière ma mémoire familiale derrière les barbelés du sionisme pour en faire l’otage d’une soi-disant autorité morale qui commet chaque jour l’abomination qu’est le déni de justice.

Alors, s’il vous plaît, retirez le nom de mon grand-père du sanctuaire dédié à la cruauté faite aux juifs afin qu’il ne justifie plus celle faite aux Palestiniens.

Veuillez agréer, monsieur le président, l’assurance de ma respectueuse considération.

( Le Monde du Jeudi 29 janvier 2009 )

P.S

Coup de colère d’Erdogan à Davos pendant un débat avec Peres sur Gaza


anniebannie : je reviens au coup de colère d’Erdogan à Davos parce que l’article ci-dessous copié chez Al Oufok explique un peu plus complètement ce qui s’est passé. Le public a applaudi Peres. Pourquoi les Turcs veulent-ils se joindre à cette bande de demeurés ? Pourquoi ne pas former un marché commun dans la région avec les pays frères ?

erdo

jeudi 29 janvier 2009, par La Rédaction

Le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan a laissé éclaté sa colère jeudi au cours d’un débat sur Gaza à Davos, quittant un débat public en reprochant aux organisateurs de l’empêcher de parler après une longue intervention du président israélien Shimon Peres.
« Je ne pense pas que je reviendrai à Davos », a lancé M. Erdogan en quittant l’estrade où figuraient également le secrétaire général de l’ONU Ban Ki-Moon et le secrétaire général de la Ligue arabe Amr Moussa.
Le dirigeant turc souhaitait répondre à un plaidoyer enflammé de M. Peres, assis à côté de lui, sur l’intervention israélienne à Gaza, mais le journaliste qui animait la rencontre l’a interrompu avec insistance pour lui signaler que le débat était terminé.
Passant outre le refus de l’animateur, M. Erdogan a pris la parole après M. Peres pour reprocher au public d’avoir applaudi l’intervention du président israélien.
« Je trouve très triste que des gens applaudissent parce que beaucoup de gens sont morts. Je pense qu’ils ont tort d’applaudir des actions qui ont tué des gens », a-t-il dit faisant allusion à Gaza, thème du débat.
Des applaudissements ont également retenti quand M. Erdogan a quitté la scène du Forum économique mondial (WEF).
M. Peres avait auparavant défendu avec véhémence l’intervention armée de son pays dans la bande de Gaza, s’emportant plusieurs fois dans une enceinte peu habituée aux éclats de voix.
S’adressant à lui, M. Erdogan a lancé : « je pense que vous devez vous sentir un peu coupable. C’est pourquoi vous avez parlé si fort ». « Vous avez tué des gens. Je me souviens des enfants qui sont morts sur des plages », a-t-il également dit.
M. Peres avait pour sa part interpellé son voisin en lui demandant : « que feriez-vous si vous aviez toutes les nuits des dizaines de roquettes qui tombaient sur Istanbul ? »
« Israël ne veut tirer sur personne, mais le Hamas ne nous a pas laissé le choix », avait-il dit également.
Au cours du débat, le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, a demandé à Israël « de faire preuve d’un maximum de retenue pour préserver le cessez-le-feu ».
Pour sa part, le secrétaire général de la Ligue arabe Amr Moussa s’est abstenu ostensiblement de porter ses regards vers le président israélien pendant toute l’intervention de ce dernier.

( Jeudi 29 janvier 2009 – Avec les agences de presse )

SOURCE

Hollywood et les Arabes


Film très intéressant et très juste en trois parties, cliquez ici

Jeudi 29 Janvier 2009

Production : The Media Education Fundation
Basé sur le livre de Jack Shaheen
Année : 2008
Documentaire diffusé le 10 janvier 2008 sur Radio Canada

Ce documentaire totalement inédit passe à la loupe un des aspects les plus calomnieux de l’histoire du cinéma et que personne n’avait jamais osé contester, depuis l’époque du muet jusqu’aux grandes productions hollywoodiennes d’aujourd’hui.

Présenté par Jack Shaheen, Ph.D., auteur réputé, le film relève la longue succession d’images dégradantes qui ont été utilisées pour représenter les Arabes au cinéma. Des bandits bédouins aux jeunes filles soumises, en passant par les cheiks sinistres et les terroristes armés, ce documentaire jette un éclairage dévastateur sur l’origine de ces portraits stéréotypés et sur leur apparition à des moments clés de l’histoire des États-Unis, démontrant du même coup les lourdes conséquences de cette représentation aujourd’hui.

Jack Shaheen montre comment, au fil des ans, la persistance de ces images a fait en sorte de banaliser les préjugés entretenus à l’égard des Arabes et de la culture arabe, ce qui aurait eu pour effet de renforcer une vision étroite des individus d’origine arabe et d’accroître les répercussions des politiques intérieures et internationales des Etats-Unis sur leur vie.

En incitant le spectateur à réfléchir sur les conséquences sociales, politiques et simplement humaines de ces caricatures hollywoodiennes, ce film souhaite faire reconnaître l’urgence d’offrir un point de vue opposé qui rendrait justice à la diversité et au caractère humain du peuple arabe, tout en faisant ressortir le vrai visage et la richesse de l’histoire et de la culture arabes.

L’homme du jour


Merci Monsieur Erdogan

erdogan

Davos

Dernier orateur à s’exprimer, Shimon Peres a tenu un vif plaidoyer en faveur d’Israël, criant par moments dans son micro. M. Erdogan a voulu riposter alors que le temps imparti était écoulé. L’animateur l’a alors interrompu, et le premier ministre turc a quitté la salle en disant: «Puisque c’est comme ça, je ne viendrai plus à Davos».

George Mitchell, le nouvel émissaire d’une campagne d’affichage ?


mercredi 28 janvier 2009

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En nommant George Mitchell au poste d’émissaire de la paix au Proche-Orient, Barack Obama a choisi un négociateur expérimenté, qui s’est notamment illustré comme l’une des principales chevilles ouvrières de la paix en Irlande du Nord.

Agé de 75 ans, issu d’une filiation mixte, irlandaise par son père et libanaise par sa mère, cet ancien membre de la commission des Affaires étrangères du Sénat se dit convaincu que « les conflits insolubles n’existent pas ». Arrivé mardi au Caire, dans le cadre d’une première tournée dans la région le menant après Israël, à Ramallah en Cisjordanie pour des entretiens avec le président palestinien Mahmoud Abbas, ce grand habitué des tables de négociation a déclaré après avoir rencontré le président égyptien Hosni Moubarack :  » Il est d’une importance cruciale que le cessez-le-feu soit étendu et consolidé ».

Barack Obama prétend publiquement affirmer sa ferme volonté de rompre avec la politique menée par son tristement célèbre prédécesseur.

Mais ses récents propos incisifs dans lesquels il justifiait sans ambiguïté l’agression meurtrière d’Israël, l’assurant par là même de l’indéfectible soutien de la première puissance mondiale, ne trahissent-ils pas au contraire une perfide campagne d’affichage censée conforter son image « d’homme providentiel, porteur du renouveau » ?

Et, on peut légitimement se demander si George Mitchell, dans le second rôle du médiateur de la paix, n’est pas en train de masquer le cheval de Troie d’une habile et vaste stratégie de communication ?

Source

Ce que l’humanité doit aux Palestiniens


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mercredi 28 janvier 2009 – par Gilles Devers

Gilles Devers est l’avocat lyonnais qui a accepté de porter mandat pour crimes de guerre contre les dirigeants israéliens devant la Cour Internationale de Justice

Israël peut trembler. Trembler parce que, loin des bombes, s’est enclenchée la justice qui le jugera. Israël pourra encore gonfler les muscles de ses hélicoptères et de ses tanks. Mais un jour, dans 5 ans, dans 10 ans ou dans 30, on rendra hommage au peuple palestinien parce qu’il a su, puisant dans les tréfonds de ce qui fait l’humanité, retrouver l’idée même des droits de l’homme.

Pendant longtemps j’ai cru qu’Israël n’était pas un État comme un autre. Je vois aujourd’hui, dans un déchirement douloureux, que pour les dirigeants d’Israël, le crime de guerre est un choix politique.

L’Histoire reste là. Après l’Holocauste, comment la communauté internationale pouvait-elle ne pas tout faire pour offrir au peuple rescapé du nazisme une pérennité ? Décision incontestable, mais injustice fondamentale pour les Palestiniens. « Les Palestiniens » ? Surtout celui-ci, celle-là, à qui on a dit : « Tu n’es plus chez toi. Tu n’es plus chez toi parce que l’ONU a décidé que la terre de tes aïeuls n’était plus la tienne ».

Et l’ONU a décidé ainsi parce que la communauté internationale, lors de la conférence d’Evian de 1939, avait fermé la porte de l’humanité à la communauté juive, la précipitant dans l’enfer nazi. L’Occident voulait compenser sa faute. Une faute payée sur le dos des Palestiniens, auxquels pas le moindre reproche ne peut être fait. Si, un seul : être là où il ne fallait pas.

Équation impossible ? Ce n’est plus le problème de 2009. Car soixante trois ans ont passé. En 2009, rien ne justifie qu’Israël, puissance économique et militaire, utilise la force armée pour construire son avenir. Israël peut continuer ses guerres. Israël peut continuer d’interdire aux partis arabes de se présenter aux élections. Israël peut faire tout ce qu’il veut avec la puissance qui est la sienne, mais Israël tombera devant la loi, qui est plus forte que lui. Car, devant l’intelligence du monde, c’est le juste qui est le plus fort.

Qu’on ne se trompe pas. Il y a eu d’autres guerres, et il y en aura d’autres, avec leurs horreurs. Mais l’agression d’Israël sur Gaza de décembre 2008 marque un basculement dans l’Histoire.

Qu’est-ce-que Gaza ? Gaza est une partie d’un territoire auquel la communauté internationale, par lâcheté, n’a jamais su imposer la qualité d’État. Une population isolée dans un territoire de 10 km sur 30, affaiblie par le blocus, sans possibilité de fuir. Désormais, quand Israël veut gagner une guerre, il attaque des civils… Fin d’un système. N’oubliez jamais le premier jour : 200 morts. Morts pourquoi ? Parce qu’ils se promenaient dans la rue, parce qu’ils allaient faire les courses, parce qu’ils étaient des enfants qui rentraient de l’école.

Et quel est le gouvernement qui a enclenché la guerre le 27 décembre 2008 ? Un premier ministre démissionnaire depuis septembre 2008 pour corruption et les deux principaux ministres – affaires étrangères et défense – en une opposition politique telle qu’ils n’ont pas réussi à constituer une coalition. C’est un pouvoir sans tête qui s’est engagé dans la guerre. Le matin, on décide des bombardements de civils ; le soir, on tient meeting. Du jamais vu !

Les bilans sont là. Monsieur Ban Ki Moon a dénoncé la disproportion dans l’attaque et il demande aujourd’hui qu’une enquête approfondie ait lieu pour qu’Israël rende compte. Toutes les grandes organisations intergouvernementales et les ONG dénoncent ces crimes de guerre.

Pendant longtemps, lorsque j’entendais le mot d’Israël, je voyais en image de fond les camps de concentration et d’extermination. Le crime commis dans le berceau de la culture. Aujourd’hui je vois toujours les camps, mais Israël est ailleurs.

L’avenir appartient aux hommes qui savent construire la paix. Or, aujourd’hui la paix s’appelle le respect du droit. Qu’est-ce qui aujourd’hui fonde les droits de l’homme ? L’analyse de 1945 en réponse aux crimes nazis, qui est au cœur de l’actualité. Les bases du droit humain ont leurs racines dans la criminalité nazie. Tout part de là. De la Déclaration des Droits de l’Homme de 1948 à la Convention Européenne des Droits de l’Homme en passant par les multiples systèmes nationaux, le droit de la civilisation a posé pour base qu’aucun homme ne peut être atteint pour le seul motif qu’il est l’homme qu’il ne faut pas.

Israël peut trembler. Trembler parce que, loin des bombes, s’est enclenchée la justice qui le jugera. Israël pourra encore gonfler les muscles de ses hélicoptères et de ses tanks. Mais un jour, dans 5 ans, dans 10 ans ou dans 30, on rendra hommage au peuple palestinien parce qu’il a su, puisant dans les tréfonds de ce qui fait l’humanité, retrouver l’idée même des droits de l’homme.

Parce que j’existe, sans que quiconque soit en mesure d’apporter la moindre appréciation sur la qualité de ma vie, j’ai droit à l’ensemble de ce qui fait la dimension humaine et qui s’appelle la liberté. Parce que je suis né ici, entre Rafah et Gaza, ou que je suis né ailleurs et que le canon des tanks m’a assigné à résidence ici, quand la terre n’est plus la mienne et que l’eau m’est volée, je reste. Regarde mes yeux, Israël, c’est un être humain qui te regarde. Écoute ce que je te dis, Israël, car sans le langage nous périssons. Sors de la prison de ta violence, et viens goûter la force de la liberté. Depuis soixante ans, tu cherches, par la force, à m’enfermer dans une prison. Les murs brisent ma vie, mais c’est toi qui es devenu le prisonnier. Prisonnier des certitudes qui t’interdisent de voir le monde. La vraie liberté s’invente à Gaza, quand tu as tout détruit. Cette mère éplorée, qui a perdu sa famille et sa maison, assise sur les gravats en implorant Dieu, dit tout de la force humaine alors que tes misérables tanks signent la fin d’une folle épopée.

La sagesse arabe nous dit qu’il n’y a pas de malheur absolu. A Gaza, des êtres humains ont été tués parce qu’ils étaient palestiniens. Accusés et condamnés parce que Palestiniens. Qui peut aujourd’hui imaginer que le crime paie ? Qui peut imaginer qu’Israël emmènera au paradis les enfants qu’il a tués à Gaza ?

C’est la justice humaine qui rétablira l’ordre, et rétablira les Palestiniens dans l’histoire.

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Qu’est-ce que le Hamas ?


mardi 27 janvier 2009, par Alain Gresh

Le Hamas suscite, sur ce blog et ailleurs, bien des frayeurs et des fantasmes, fondés souvent sur une méconnaissance du mouvement, de son histoire et de ses évolutions. Avant d’en venir à cette réflexion sur le Hamas, signalons que Le Monde diplomatique de février, en vente dans les kiosques, consacre un dossier de six pages aux événements de Gaza et à leurs conséquences sur la région.

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Solidarité : comment empêcher le prochain massacre israélien ?


par Silvia Cattori

Davantage d’action politique en-dehors de la Palestine !

Si les responsables de la solidarité internationale continuent de fourvoyer leurs militants dans des analyses erronées et des actions inefficaces, ils ne pourront pas empêcher le prochain massacre en Palestine, plus terrible encore.
A la lumière de l’effroyable carnage qui vient de frapper Gaza, les appels des analystes palestiniens qui s’expriment ici (*) prennent une résonance tragique. Il n’y a plus une minute à perdre. Il est impératif que les militants consacrent toutes leurs énergies à agir auprès de leurs gouvernements pour les contraindre à mettre fin à la scandaleuse impunité dont jouit Israël. Le parlementaire européen Giulietto Chiesa, ne dit pas autre chose(**) : « Les voyages de solidarité, le tourisme de solidarité en Palestine, cela ne fonctionne pas. Je sais que c’est ici, chez nous, que nous devons agir si nous prétendons peser sur les évènements ! »

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