Policiers et odieux matons


An.H.

La commission de surveillance dénonce des violences policières. Des faits graves se sont produits pendant les grèves des agents pénitentiaires.

Surpeuplées, vétustes, moyenâgeuses, la plupart des prisons du pays sont des chaudrons. C’est encore plus vrai pendant les actions de grève des gardiens, alors remplacés par des policiers pour assurer la sécurité dans l’enceinte des établissements pénitentiaires. Les tensions sont souvent vives entre détenus et les agents de police peu au fait des habitudes des prisonniers et du fonctionnement des règles carcérales.

Mais deux récentes grèves à la prison de Forest ont donné lieu à des faits extrêmement graves qui sont dénoncés par la commission de surveillance de la prison. Cette commission, composée d’une douzaine de membres (dont au moins un magistrat, un avocat et un médecin), c’est un peu l’œil de la société civile au sein de la prison. Totalement indépendante de l’administration comme du ministre de la Justice, elle peut circuler au sein de la prison.

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