terrifiant. anniebannie espère que c’est un « hoax », un canular

En langage nerd, on appelle ça une « killer application » – un truc mortel, l’application qui tue. Et pour le coup elle porte bien son nom.
Il s’agit d’une «puce tueuse» commandée à distance par satellite… Le procédé, décrit il y a trois semaines dans quelques dépêches, paraît simple comme bonjour: une puce électronique contenant un émetteur GPS, un composant assez minuscule pour être injectée sous la peau, et qui permettrait de suivre à la trace un individu afin par exemple qu’il ne dépasse pas certaines limites géographiques.
A ce stade là, rien de bien nouveau. En matière de géolocalisation judiciaire, le principe du bracelet électronique mobile, inscrit depuis presque 3 ans dans le code de procédure pénale français, revient à peu près au même résultat.
Mais si cette invention a, parait-il, été retoquée par l’Office allemand des brevets, le DPMA, c’est pour son application finale: le dispositif contiendrait une capsule de poison – du cyanure, par exemple -, et une fois qu’un certain périmètre serait dépassé, la puce serait capable de libérer une dose létale afin de foudroyer sur le champs le contrevenant…
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