dimanche 14 mars 2010 – 07h:03
Loin de voir dans l’Holocauste un message universel condamnant le racisme ou l’oppression quelle qu’en soit la nature, Dagan et son Etat juif y voient un permis à exécuter qui bon leur semble, écrit Gilad Atzmon.
Dans un article remarquable consacré à l’opération menée par le Mossad à Dubaï, The Times fait allusion à la « philosophie » de Meir Dagan (le chef du Mossad).
« Le ton de la dictature de Dagan est donné par une photo accrochée au mur de son modeste bureau de son Q.G., à Tel-Aviv. On y voit un vieux juif, debout au bord d’une tranchée. Un officier SS pointe son flingue sur la tête du vieil homme. « Ce juif âgé était mon grand-père », explique Dagan à ses visiteurs. Selon The Times, cette photo est le reflet de la conviction de Dagan : « Nous devons être forts, utiliser notre cerveau et nous défendre afin que l’Holocauste ne soit jamais réédité ».
